La Brasserie Barbès rend hommage aux grands prix littéraires parisiens, la touche « Barbès » en plus : puisque tous les styles de musiques et tous les horizons sont abordés. Ce prix récompense l’auteur.e de la meilleure oeuvre littéraire et singulière, s’inspirant de l’univers de la musique. Antoine de Caunes, Juliette Armanet, Lou Doillon et Eddy de Pretto et Raphaël ont présidé les premières éditions du prix de la Brasserie Barbès.
Illustrations par Alexandra Compain Tissier
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« Ici plongée au coeur du réacteur de ses putains d’années 1980, de ses icônes acariâtres et de son insignifiance ordinaire, le cofondateur de Taxi girls livre un témoignage sans égal dans son extrême sincérité et sa performance littéraire tenu de bout en bout, mêlant son histoire personnelle au récit circonstancié d’un pan encore idéalisé du monde de la musique, du rock français en particulier. »
« Notre vie était impossible à croire, il me fallait rassembler des preuves. À chaque disque, chaque concert, je n’ai cessé d’écrire, comme autant de pièces à conviction. À la mort de mon frère, Fred, j’ai rencontré le néant. Rien. Après une année de stérilité artistique, je me suis replongé dans cet amas de textes, et j’en ai tiré ce témoignage : le road-trip d’une tournée, l’aventure infernale de notre duo au sein d’une scène underground magnifique et infecte à la fois. »
« Cet ouvrage s’interroge sur la place des femmes dans le rap français, en s’intéressant aux différentes thématiques qui touchent leur condition et émancipation puis en donnant la parole aux actrices de la scène rap, par la mise en lumière de leurs oeuvres et parcours. »
« Je suis le plus célèbre des inconnus. Je travaille avec plaisir pour les autres sans chercher leur gloire. Et je n’ai pas quitté le Nord comme jamais je ne renierai ma musique. Il n’y aurait pas d’autre façon de se trahir. De se mentir. De se tuer. J’ai subi neuf cancers et je ne suis plus de traitement. »
« Jewish Gangsta raconte les histoires vraies de Ill Bill, Necro, J.J. et Ethan Horowitz, quatre jeunes blancs, juifs et paumés qui tentent de survivre dans l’enfer violent du Brooklyn des années 90. Tantôt incarcérés, tantôt récupérés par les gangs ou par les « Lo-Life », spécialistes des vols à la tire vouant un culte à la marque Ralph Lauren, ils sont tous les quatre à l’origine du mouvement « goon », un nouveau genre de hip-hop slammé. »